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Mort de Jackie Sardou :
la maîtresse de Maurice Papon ne supporte pas la sentence !




Jackie Blonde

En hommage à la mémoire de Jackie,
la vidéothéque de Paris vous invite à voir
le film biographique officiel "Jackie Blonde"
de Quentin Tarentino.



Une vie à la Kennedy
Jackie lors du casting de
"Freddy, les griffes de la Nuit"

Le jeudi 2 avril au matin, c'est la stupeur chez les Sardou. Après une longue nuit d'angoisse, le verdict du procès Papon tombe enfin : 10 ans de réclusion criminelle ! Le silence est lourd, pesant dans cette modeste demeure creusoise où réside Mamie Sardou. Mais quelques minutes après l'annonce, l'espoir revient, Papon se pourvoie en cassation, ce qui lui laisse un répit d'au moins un an avant de croupir en prison.

Jackie (vous vous rendez compte, le même prénom que feu Mme Kennedy !) se précipite au téléphone :

Elle : Allo, Maurice !
Lui : Allo, ici la Kommandanture je vous écoute...
Elle : Maurice, Maurice...
Lui : Ah c'est toi grande folle ?
Elle : Oui c'est moi, ton Loulou d'amour !
Lui : Line ?
Elle : Non, Jackie !
Lui : Comment vas tu ?
Elle : Bien mon gros lapin... Oh ! Comme j'ai eu peur...
J'ai crut ne plus te revoir... Quand pourras tu venir ?
Lui : Je ne viendrais plus jamais ma svatiska chérie...
Elle : ...
Lui : Ne pleure pas... La mort de ma femme Mauricette a vidé mon cœur de tout sentiments pour les humains non juifs... je veux être seul maintenant.
Elle : Mais... comment peux tu me dire cela ! Alors que tu n'as plus besoin de divorcer !
Lui : Tais toi, cosmopolite de fin de race, comment peux tu souiller la mémoire de Mauricette !
Elle : Mais enfin Maurissounet, c'est moi qui ai tué ta femme !
Lui : Quoi ? Attends ne quitte pas, j'ai Darnand en signal d'appel...
Bon, je suis à toi, que disais tu ? Tu as tué Mauricette ? Tu le regretteras à jamais...
tut tut tut...
Elle : Allo, allo.... La Gestapo ?
Allo, allo, tout va à l'eau...
Désespérée, Jackie tourne en rond dans sa petite cage et finis par prendre la seule solution qui s'impose : le suicide. La vie ne vaut plus la peine d'être vécu, surtout avec l'autre con de Michel qui beugle à tout vent et emmerde sa pauvre mère avec ses albums dédicacés Bercy 98, Bercy 99, Bercy 2000 (non tout mais pas ça !!!)...

Ainsi, après avoir absorbé 37 tubes de Polydent et écouté deux fois de suite Gilles Maire jouant du Brassens (370ko putain !), Jackie mourra ! (cherchez pas, y'a pas de jeu de mots...)

Presko, l'ami des charlots
Merci à Musclor-Fred pour son inspiration